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Une nutrition saine et équilibrée participe à la bonne santé des salariés. Cependant l’augmentation des facteurs de risque cardiovasculaire comme le surpoids, l'obésité, le diabète ou encore l’hypertension sont souvent un signe de consommation de produits trop gras, salés et sucrés. Cet indicateur invite les entreprises à rappeler les principes d’une bonne alimentation et à la rendre plus accessible. Cet article a pour objectif de vous aider à donner des repères concrets aux salariés et déployer une culture d’une alimentation bénéfique pour tous !

Les troubles musculo-squelettiques, qui touchent particulièrement les articulations, les muscles et les tendons, ne concernent pas uniquement les métiers à forte pénibilité. Les salariés qui pratiquent un travail statique sont également à risque. Le télétravail représente un facteur de risque de TMS car il augmente la sédentarité et n’est pas toujours pratiqué dans de bonnes conditions. Cet article regroupe un ensemble de conseils et d’exercices simples à pratiquer au quotidien pour guider les salariés en télétravail afin que les TMS ne soient plus une fatalité.

Alors que le secteur de l’industrie lourde prévoit d’embaucher environ 1 million de personnes dans les années à venir, la place des femmes devient un enjeu majeur. Pourtant, ce secteur peine à attirer des profils féminins. D’après l’INSEE, les femmes représentent moins de 30% des salariés de l’industrie et ce chiffre ne progresse pas.

L’approche de la parentalité par les entreprises a changé ces dernières années. Véritable pilier de la marque employeur, elle est devenue un élément incontournable pour les jeunes générations. Nina Bataille est coach professionnelle certifiée et spécialisée en neurosciences, auteur et conférencière. Elle intervient auprès des entreprises notamment sur les sujets de la parentalité. Elle revient dans cette interview sur la façon dont cette thématique a évolué ces dernières années, les attentes des salariés et la manière de les accompagner.

L’usage des machines, quel que soit le secteur concerné, est un levier essentiel de productivité. Mais quand ces équipements sont mal sécurisés, mal entretenus ou mal utilisés, ils sont une source de risques graves pour la santé et la sécurité des travailleurs. Or, que ce soit dans l’industrie manufacturière, la métallurgie, l’agroalimentaire, la logistique ou le BTP, la prévention des accidents liés aux machines dangereuses reste une priorité absolue pour les employeurs.

Depuis la crise sanitaire, les salariés sont plus attentifs à leur santé et à la qualité de vie au travail. La hausse de la prévalence des maladies chroniques et les difficultés d'accès aux soins expliquent cette tendance. Selon une étude Ipsos pour la Fédération Hospitalière de France (mars 2024), plus de 6 Français sur 10 ont déjà renoncé à au moins un acte de soin au cours des 5 dernières années. Principalement en cause : le temps nécessaire pour avoir un rendez-vous, les difficultés financières ou encore l’éloignement géographique.

Aujourd’hui les maladies chroniques sont en hausse et la population active n’est pas épargnée. En effet, 1 travailleur sur 6 est atteint d’une maladie chronique selon l’Anact.

Les Français sont-ils devenus des petits dormeurs ? Aujourd’hui, les adultes dorment en moyenne 6h40 par nuit, soit une heure de moins que ce qu’ils devraient. Ce manque de sommeil au quotidien finit par créer une dette et celle-ci est un véritable sujet de santé et de société. Le manque de sommeil a des répercussions sur la qualité de vie des salariés et engendre des risques au travail.
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Les addictions représentent un enjeu majeur en entreprise. Elles augmentent le risque routier, les troubles musculo-squelettiques, les risques psychosociaux, les accidents du travail, etc. On estime que 6 à 8% des salariés ont une addiction. Selon la MILDECA (Mission interministérielle de lutte contre les drogues et les conduites addictives) “les addictions sont des pathologies cérébrales définies par une dépendance à une substance ou une activité, avec des conséquences délétères.”

Le mois de janvier nous invite depuis quelques années, à travers le Dry January, à nous abstenir de boire de l’alcool pendant 1 mois après une période festive et souvent alcoolisée. Ce rituel est l’occasion de s’interroger sur le rapport entre alcool et travail. Quelles sont les répercussions de l’alcool sur la santé des salariés et les risques associés ? Existe-il des situations où le travail favorise la consommation d’alcool ? Comment faire évoluer les mentalités et permettre aux entreprises d’agir ? Ce sont à toutes ces questions que nous répondrons dans cet article.

Derrière un salarié trop investi et perfectionniste peut se cacher une addiction au travail. Celle-ci existe même si elle n’est pas toujours facile à repérer par l’employeur. Désignée également sous le nom de workaholisme, il s’agit d'une addiction comportementale qui a un impact négatif sur la santé du salarié qui en souffre.

L’évolution récente du tabagisme en France montre une baisse de la consommation chez les hommes alors que celle-ci augmente chez les femmes. S’il est nocif pour tous les individus, le tabagisme comporte néanmoins des risques spécifiques pour la santé des femmes. Face à cette hausse de la consommation, des solutions existent et les entreprises ont un rôle à jouer. Les employeurs peuvent encourager leurs collaboratrices à arrêter de fumer. Nous faisons le point dans cet article.

Si les conduites addictives ne sont pas nouvelles pour les entreprises, ce risque s’est accéléré notamment à l’occasion de la crise sanitaire. Par ailleurs, aux situations d’addiction traditionnelles s’ajoutent de nouvelles formes notamment liées à des comportements comme la surconsommation numérique. Longtemps tabou dans les entreprises, le sujet émerge de plus en plus à travers une mobilisation des acteurs de la prévention santé et la nécessité de mettre en place des actions de sensibilisation.